Lors de la mobilisation de ce 1er février, nos collègues ont clairement exprimé leur
attachement à l’Ecole publique. Et ensemble, nous avons dénoncé le mépris de la
ministre de l’Education mais surtout l’orientation de la politique menée par l’exécutif :
absence de revalorisation salariale, choc des savoirs qui symbolise une modèle
d’Ecole passéiste et conservateur qui va à l’encontre de l’intérêt des élèves et des
personnels. Face à l’ensemble de mesures gouvernementales qui remettent en
cause la liberté professionnelle des enseignants et va poser les bases d’une École
du tri social, nous devons apporter une réponse forte qui passe par une action dans
la durée.